Voilà
trois jours, j’en suis convaincue, qu’il s’observe, chaque
matin, attentivement le derrière dans l’attente du moment où les
marques auront totalement disparu… Parce qu’il ne s’est
certainement pas donné le ridicule – ces petits mâles ont
leur fierté – d’aller exhiber ses fesses tuméfiées devant
son Émilie… Trois jours, oui, c’est à peu près le temps qu’il
aura fallu, vu l’état dans lequel je les lui avais mises, pour
qu’il ne reste pratiquement plus trace du traitement que je lui ai
fait subir… Et il doit se faire, par avance, une véritable fête
de la nuit qu’il va enfin pouvoir passer avec elle… Sauf que je
ne l’entends pas de cette oreille… Et que je lui réserve une
petite surprise à ma façon…
– C’est
nul, une fois de plus… C’est nul ce que tu m’as fait là…
– Hein ?
Mais…
– Me
dis pas que tu n’en as pas conscience… Alors… Tu sais ce qui
t’attend…
Il a
bataillé… Pied à pied… Ergoté… Tenté de m’apitoyer…
Supplié… Il a tout essayé… En vain…
– Inutile
de perdre ton temps… Et de me faire perdre le mien… Tu devrais le
savoir depuis le temps…
Il
n’a pas insisté… Il s’est déshabillé… Et… il bandait…
Il bandait, oui… Oh, pas une érection monumentale… Mais tout de
même… Quelque chose de relativement consistant… Serait-ce qu’il
commence à prendre sérieusement goût aux fessées que je lui
administre ? Ce n’était pas vraiment le but recherché… Je
ne lui ai pas laissé le temps d’avoir honte… Je l’ai attiré
fermement vers moi…
– Allez !
En place pour le quadrille…
Fait
basculer en travers de mes genoux… Ça s’est déployé contre ma
cuisse… Et puis, presque aussitôt, recroquevillé… Dès que les
premiers coups sont tombés… J’ai pris tout mon temps… Je l’ai
consciencieusement travaillé… À grandes claques énergiques…
Imprimées rouge vif sur son fessier à découvert… J’ai insisté…
Que ça rentre bien en profondeur…
– Là…
Je
l’ai fait relever… J’ai pris un peu de recul…
– Elle
passera pas du jour au lendemain celle-là… Compte bien… Oh, au
moins quatre-cinq jours… Facile…
Il a
fait mine de se diriger vers ses vêtements… Je l’ai retenu par
le bras…
– J’espère
en tout cas que tu vas en garder un excellent souvenir de cette
fessée parce que… c’était la dernière…
Il a
levé sur moi un regard ravi…
– Oui,
oh… Te réjouis pas trop vite… Tu ne vas pas forcément gagner au
change… Non, parce qu’à 19 ans tu es un homme maintenant… Ce
qui risque de poser parfois quelques petits problèmes… On a vu ça
tout-à-l’heure…
Il a
rougi sous l’allusion… Baissé la tête…
– Et
donc… on va devoir changer notre fusil d’épaule…
J’ai
entrouvert la porte-fenêtre…
– Viens !
Suis-moi !
Au
moment de la franchir il a marqué un temps d’arrêt…
– T’inquiète
pas ! Personne peut voir…
Je
l’ai entraîné tout au fond du jardin… Me suis arrêtée devant
la haie de noisetiers… Lui ai tendu un sécateur dont je m’étais
emparée au passage…
– Choisis
toi-même ! Et choisis bien… Celle-là ? Oui ? Tu es
sûr ? Eh ben vas-y ! Coupe !
Je
lui ai fait enlever les feuilles… Une à une…
– Là !
Donne !
Je
l’ai fait siffler plusieurs fois en l’air…
– Elle
sera pas mal, oui !
Lui
en ai brusquemant asséné un grand coup sur les fesses… Il a fait
bond… Poussé un cri de douleur et de stupéfaction…
– Elle
sera même très bien… Et il faut… Parce qu’elle va être
appelée à servir souvent… Oui, que je t’explique… La rentrée
est bientôt là… Je vais aller voir tes parents et intercéder en
ta faveur… Ils ne te mettront pas en pension…
– Oh,
merci… Merci…
– Mais
je poserai mes conditions… Je veux continuer, tout au long de
l’année, à superviser ce que tu fais… J’interviendrai chaque
fois que je l’estimerai nécessaire… En ce qui concerne Émilie
il est hors de question qu’elle te fasse perdre encore une année…
C’est pourquoi, si tes résultats ne me satisfont pas, tu devras
cesser de la voir… Jusqu’à ce qu’ils soient redevenus
acceptables… Tu seras bien évidemment tenté – je commence
à te connaître – de braver cette interdiction… Je
t’appliquerai donc, dans ce cas-là, pour t’éviter de céder à
cette tentation, des corrections « préventives »…
Comme tu n’as manifestement pas la moindre envie – tu l’as
très clairement démontré ces derniers jours – qu’elle
découvre à quel traitement je soumets ton derrière, c’est de
toi-même que tu prendras alors tout naturellement tes distances…
Voilà… Tu peux rentrer te rhabiller…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire